Au Japon, les Yakuza se recyclent. Nécessité faisant loi, le plus grand syndicat du crime organisé, a délaissé flingues et trafics en tous en genre pour investir en Bourse et dans l’immobilier. Ils ont gardé leurs mauvaises manières, mais adopté le look des Golden Boys de Wall Street. Mais même, à l’abri de leurs sociétés écrans, la crise ne les pas épargnés.