Comment ces jeunes détenus s’adaptent-ils à un système qui, au départ, n’est pas conçu pour eux ? Hormis quelques ajustements d’emploi du temps et une discipline parfois assouplie, ils restent soumis au même règlement et au même cadre que leurs ainés. Leur quotidien est rythmé par le bruit des clés, les claquements de portes, les longues heures d’attente en cellule, et souvent, des larmes. Ils vivent dans l’attente : celle du repas, de la promenade, de la classe et surtout de leur sortie…