Suite à une controverse concernant des soins du visage offerts à des détenus à la maison d’arrêt de Toulouse-Seysses, Gérald Darmanin, le garde des Sceaux, a déclaré avoir donné l’ordre de suspendre toutes les « activités ludiques » en prison. Jusqu’à aujourd’hui, ces activités avaient pour objectif de limiter la récidive et de garantir le respect des droits fondamentaux des détenus. Dans la pratique, quels sont leurs effets ?

Pour répondre, Marguerite Catton reçoit l’avocat Matthieu Quinquis, président de la section française de l’Observatoire international des prisons.