Bien que le TGV soit un train à très grande vitesse, sa vitesse actuelle est le résultat d’un équilibre complexe entre les limites technologiques et de sécurité liées à l’adhérence, à l’aérodynamisme et au freinage, les contraintes imposées par l’infrastructure existante des lignes à grande vitesse conçues pour des vitesses spécifiques, et les considérations économiques concernant la consommation d’énergie et la rentabilité, sans oublier l’impact potentiel sur le confort des passagers. Atteindre des vitesses encore plus élevées nécessiterait des avancées technologiques significatives, des investissements considérables dans l’infrastructure et une analyse coût-bénéfice justifiant ces efforts.