L’ expression populaire « mais que fait la police ? » renvoie exclusivement à l’état d’intranquillité de nos rues – à tort, car les compétences régaliennes de l’État en matière de protection vont bien au delà des seuls biens et personnes. Mais, comment protège-t-on la nature, le vivant ? Et où met-on nos efforts en particulier ? En outre, la nature s’affranchissant des frontières étatiques, comment articuler cette politique à un niveau européen ?