Burgers à base de pois, faux poulet à base de soja, le nombre de succédanés de viande dans les supermarchés suisses a doublé entre 2016 et 2020. Ce n’est pas tant les végétaliens et végétariens qui portent ce marché que les fléxitariens, des omnivores qui mangent moins de viande pour varier, le bien-être animal, l’environnement ou…la santé. Mais que valent-ils du point de vue nutritionnel ? Bon nombre de ces produits industriels contiennent peu de protéines, mais trop de sel, de matières grasses et d’additifs. Il est donc conseillé de ne pas consommer ces aliments trop régulièrement et de privilégier la préparation des repas à partir d’ingrédients les moins transformés possibles.