Stages de survie en pleine nature, entraînements aux sports de combat, formations au maniement d’armes… Depuis plus d’une décennie, une frange de l’extrême droite française se tourne vers la mouvance survivaliste dans l’idée de se préparer à ce qu’elle nomme une guerre ethnique. Une dérive alarmante où ces militants, en adoptant les discours des courants écolos, teintent de vert leur projet xénophobe.

Au micro de Thomas Rozec, Stéphane François, historien et politologue, remonte le fil du survivalisme depuis ses origines.