Elles s’appellent Chloé, Karine, Maria, Patricia et Béatrice. Elles sont de tous âges et de toutes catégories sociales confondues. Leur point commun : avoir un proche en détention. Souvent plus punies que les punis eux-mêmes, elles sont devenues, par les hasards d’une vie chaotique, des femmes de parloir.