Il y a 150 ans se tenait à Paris la première exposition de peintres impressionnistes. À l’époque, cette façon de représenter le réel par petites touches a fait scandale. Qu’est-ce qui choquait donc tant les contemporains de Claude Monet ?

Pour le comprendre, le Musée d’Orsay nous fait revivre l’inauguration de cette exposition indépendante.

Dans les jardins de Giverny, « Twist » dialogue avec un critique d’art qui n’est autre que l’arrière-petit-fils de Claude Monet. Philippe Piguet évoque un patriarche d’une grande modernité.

Le festival Normandie impressionniste invite des artistes contemporains à s’inspirer des œuvres de Monet et de ses camarades.

Quant au plasticien et designer sonore britannique Oliver Beer, il a enregistré les sons du bassin des célébrissimes « Nymphéas » pour composer ses « Resonance paintings », actuellement exposées à Rouen – où « Twist » l’a rencontré.

C’est justement dans la capitale normande que Monet a consacré une série de 33 tableaux à la cathédrale gothique, saisissant sur chaque toile les variations de lumière. Pour les 150 ans du mouvement, Bob Wilson – metteur en scène américain et magicien de l’image – s’apprête à faire de Notre-Dame-de-Rouen une œuvre poétique musicale et lumineuse. « Twist » l’accompagne dans ses préparatifs.

L’artiste italien Davide Quayola pratique « l’impressionnisme numérique ». Il remplace la peinture par des données. Marines agitées et prairies fleuries se transforment alors en de nouvelles toiles fascinantes. « Twist » lui rend visite à Rome.

Disponible jusqu’au 09/06/2025