Haru gagne 27 000 euros par mois pour faire boire de l’alcool à des femmes aisées dans des clubs, les distraire, leur conter fleurette… Et parfois, terminer les nuits dans leur lit. Au Japon, 800 bars à hôtes emploient de jeunes éphèbes gominés façon pop stars asiatiques. Classés chaque mois selon leur physique et leurs performances, ils suivent des cours de séduction et touchent des commissions exorbitantes sur les consommations des clientes.