Le 11 septembre 1969, André Bourvil est retrouvé inanimé dans une chambre d’hôtel près de Perpignan. Ce n’est qu’une syncope, mais le mal est bien plus profond : il souffre en silence d’un cancer des os.
Malgré des souffrances insupportables, il poursuit son travail, refusant d’abandonner le tournage de son film. Derrière son image d’homme drôle et tendre se cache une profonde solitude et une lutte acharnée contre la maladie. À travers ses dernières années, son histoire révèle un homme d’une immense pudeur, déterminé à vivre jusqu’au bout, à cacher sa douleur et à protéger ceux qu’il aime.
Réalisation : Guillaume Fleuret et Jean-Baptiste Arnaud