Comment est-on passé de la salle d’asile, gérée par des religieuses souvent autoritaires, à une école maternelle basée sur le bien être de l’enfant, le jeu, les activités artistiques et sportives ? C’est en grande partie grâce à Pauline Kergomard, militante laïque et féministe qui a voué sa vie à l’éducation des plus petits.