Il est commun de dire que l’Homme est méchant et qu’avec quelques efforts il pourrait s’amender. Là réside l’espérance. Cette espérance suppose une nature qui ne serait pas irrémédiablement figée en l’état. Pourtant peu d’animaux sont méchants au sens où nous l’entendons et jamais à l’échelle dont nous sommes capables. Dès lors la méchanceté serait-elle spécifique donc génétique ou environnementale ?