Les rongeurs mâles ont constitué pendant longtemps le seul modèle d’étude en neurobiologie, notamment pour les études comportementales, avec le postulat que les hormones chez les femelles « perturbaient » les résultats obtenus et l’idée sous-jacente que les femelles étaient des « mâles with pesky hormones ». Tout cela est bien sûr en train de changer, mais cela illustre les biais en recherche avec des incidences sur la médecine expérimentale.